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Nintendo critiqué pour ses contrats de travail

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L’industrie du jeu vidéo à subi ces dernières années un grand tremblement de terre avec les nombreuses accusations. Celui-ci dure toujours chez certain éditeurs et studio, mais l’une des entreprise y avait échappé du moins jusqu’à maintenant, Nintendo. Et c’est sur la branche américaine que les critiques proviennent.

Nintendo of America ciblé par des critiques

La semaine dernière une plainte a été déposé contre Nintendo of America (NoA) et l’entreprise de recrutement Aston Carter. Cette plainte concerne des actions tel la décharge des emplois et des déclarations de coercitives. NoA avait rapidement répondu que l’employé était « un entrepreneur qui avait déjà été licencié pour la divulgation d’informations confidentielles ».

Mais un rapport complet de Kotaku a été publié, dans lequel il parle aux employés actuels et ancien de Nintendo of America. En mettant l’accent sur les conditions de travail, notamment chez ceux embauché via des contrats ou à temps partiel.

Des différence selon le statut d’embauche

Ainsi les employés ont cité un système à deux niveaux, d’un côté ceux à temps plein. Et de l’autre les gens embauché via des sociétés externe et qui possèdent peu d’avantage (médical, professionnel, etc). Personne qui gagne en plus de cela moins d’argent que le salaire moyen de la régions, NoA étant basé à Seattle juste à côté de Microsoft.

En ce qui concerne l’expérience au travail, les sources ont indiqué un travail “épaule contre épaule” et qui sont maintenus à distance des autres, notamment de ceux embauché à temps plein. Un exemple est cité, il peuvent utilisé le café présent dans les locaux, mais ne peuvent pas faire visité le musée interne à leurs familles.

Jelena Džamonja, une employée qui a plus de cinq ans d’expérience dans le « cycle des travailleurs temporaires », a parlé qu’elle s’était blessé à la tête au travail. Après avoir éprouvé des symptômes potentiels de commotion cérébrale au bureau, ils ont été refoulés de la clinique sur place en raison de leur statut d’emploi.

Un collègue à temps plein n’a pas été autorisé à les conduire à une clinique, il aura fallut appeler un Uber pour réussir à voir un médecin externe. « Ils veulent vous contrôler comme si vous étiez à temps plein, mais ne vous traite pas comme un travailleur à temps plein », a déclaré Džamonja à Kotaku.

Un jeu d’image et d’attrait pour imposé les conditions

D’autres sources suggèrent que les contrats à temps plein sont maintenus de façon précaires pour encourager les employés à travailler dans de mauvaises conditions. Les nombreuses années de travail ne donne pas lieu à des embauches à temps plein.

Même le salaire à temps plein est décrit comme « pas génial selon les normes de l’industrie ». Et c’est grâce à l’attrait de travailler chez Nintendo et la possibilité de ce faire facilement remplacé que les gens accepte ces conditions.

Les personnes interrogé par Kotaku mentionne également que discuter de leurs conditions peut avoir des conséquences. Il y a notamment des risques de recevoir des avertissements de la part de leurs recruteurs, voir même des arrêts anticipé de leurs contrats.

C’est un rapport qui dépeint des conditions de travail difficile, que ce soit pour les employés à taux plein, mais encore plus pour ceux via contrat ou temporaire. De nombreux problèmes ont été soulevé, problème qui poserait des tensions en interne. Nintendo of America n’a bien évidemment pas commenté ce rapport.

Mais on peut espérer que la haute direction de Nintendo que ce soit aux États-Unis ou au Japon fasse le nécessaire. Une telle affaire aurait un impact sur l’image de la société, image que Nintendo souhaite préservé à tout prix.

Rédacteur en chef
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